Masque ou pas masque pour se protéger des effets nocifs de la pollution atmosphérique à vélo ? A en croire les études scientifiques, les masques antipollution présents sur le marché ne seraient pas totalement efficaces contre les particules. Mais ne vaut il pas mieux une protection incomplète que pas de protection du tout ?
C’est pour offrir une solution de protection aux cyclistes qui le souhaitent, que la start-up parisienne R-Pur lance un modèle pensé par et pour les cyclistes, le Nano Light. Ce nouveau masque intègre la même technologie de filtration que le modèle Nano (plus typé deux-roues motorisées), avec plusieurs couches de filtration afin de bloquer un maximum d’éléments nocifs. Il est également plus léger et plus respirant. En outre, le Nano light embarque deux nouvelles technologies : Nano Light Reflective et Nano Light Ceramic.
Visibilité et resistance
La technologie Reflective permet d’accroitre la sécurité des cyclistes en pleine nuit en le rendant plus visible afin de réduire efficacement les risques d’accidents. De jour comme de nuit, les microbilles de verre intégrées à la matrice du masque permettent de renvoyer toute source de lumière à son émetteur. La technologie Ceramic présente quant à elle, une protection efficace contre l’abrasion, en liant fermement de fines particules de céramique sur le textile, assurant ainsi une protection supérieure lors d’une chute ou de projections.
Découvrir Nano Light pendant la semaine européenne de la mobilité
Si vous êtes franciliens et que vous désirez découvrir et essayer ce nouveau masque antipollution et discuter avec les concepteurs, notez que le Nano Light sera présenté à l’occasion de la semaine européenne de la mobilité qui aura lieu du 16 au 22 septembre. Deux rendez-vous sont fixés : le jeudi 19 septembre à la gare RER de Bry-sur-Marne, de 16 à 19 heures, et le vendredi 20 septembre à la gare RER de Denfert-Rochereau à Paris, de 10 à 14 heures.